Le monde en images / Pictures of the world - Périples.com

Suite à plusieurs demandes de mes admirateurs (hum !! hum !!), j'ai décidé de prendre un Blogue par moi même, ne connaissant rien au Blogue, je suis à l'étape de débutant, expérience par expérience et on avance dans le blogue <<<< >>>>>>> After several requests from my fan (hum!! hum!!), I decide to put everything in a Blog, not knowing anything in Blog, I decided to even take a chance as a beginner, day after day I will advances in this Blog.

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Emplacement : Montréal-Nord, Québec, Canada

dimanche, avril 30, 2006

Défi d'Olivier !!!

Chers amis, pour aujourd'hui, j'ai relevé le défi d'un ami de Blogue, Olivier de Montréal, sans peine. Bon bien on commence.

Vue générale d’un lieu depuis un point en hauteur avec une superbe vue sur la piazza St-Marco à Venise.











Feu - Disons que j'ai les pompiers mais pas de feu majeur, alors je vous ai placé les pompiers et un jolie feu de foyer, lors d'un de nos voyages.


Objet décoratif - Disons que pendant les 5 années en Europe, c'était mes bibelots de voyage.

Produit laitier dans un cadre inhabituel - Là j'ai eu un gros compromis, alors j'ai placé la première qui est de la crème glacée sur mon écran d'ordinateur et aussi la deuxième est des productrices de lait qui normalement sont dans un champ, imaginez moi la face lorsque j'ai fait leurs rencontres à 90 km/h, aucun blessé, j'avais même un idée pour une troisième, mais mon épouse ne l'aurai pas trouvé drôle !




Nos voisins - Quel voisin ?

Libre création - Eh oui c'est notre fils, notre libre création, hihihi !!!

Autoportrait - Disons qu'en ce moment, je ne peux m'empêcher de prendre une tonne de photo de notre fils, Alexandre.

Bon bien, je sais que j'ai triché un peu, pour terminé, disons que j'ai bien aimé le défi, mais on ne s'imagine pas le nombre de photo que l'on prend avec une caméra numérique.

À demain !

Richard.

vendredi, avril 28, 2006

Périples en moto - mai 2000

L'histoire qui suit semblera pénible et longue,mais elle est vrai et très drole pour les autres, seul les noms ont été changés. Vous remarquerez qu'il n'y a pas beaucoup de photos, ca se passe en parti la nuit. Alors il n'y avait pas grand chose à voir … (J'ai refais le voyage jusqu'à la frontière avec la Volvo, pour pouvoir prendre des photos de jour, j'ai aussi ajouté des photos de moutons, je les entendais mais ne les voyais pas, alors au fil du texte des moutons sont insérés)
Commençons à mon retour du Canada. L'idée de me louer une moto me travaille depuis très longtemps, et je mets en marche mon projet. Je profite du fait que Nathalie soit au Canada et que je suis seul ici pour ma première fin de semaine. Je me loue une Honda Transalp 600, une très belle moto assez performante, vous la verrez plus tard. Faisons un retour en arrière, jusqu'à l’âge de 22 ans j'étais le propriétaire d'une Suzuki GT 750 et je fais de la moto depuis l'âge de 10 ans, sur route et hors route, volontairement et non-volontairement, des exemples suivront dans se blogue prochainement.

Vendredi le 26 mai 2000 - 15h00, date mémorable, le gars de l'agence de location me dit de ne pas mettre de l'essence car le réservoir est plein, alors je pars pour l'aventure. Ma destination finale est Nice, plus précisément COLOMARS et non COLMARS.


De Milan je prends la direction du Col de la Madeleine, en France, en passant près de quelques rizières Italiennes sur le chemin de Torino(Turin). Nous sommes le 26 mai et il y a encore de la neige sur les sommets de quelques montagnes et je suis en MOTO, pas un bon signe. Alors il ne fait pas très très chaud. Rendu au sommet du Col de la Madeleine, la pluie se met de la partie, encore une chance que ce n'est pas de la neige. La moto commence à donner des coups comme lorsque l'essence va manquer. Je regarde pour mettre le réservoir sur réserve, car je me fie au gars qui m'a dit que nous pouvons faire jusqu'à 100 km sur la réserve alors pas de problème en vue.

Sauf que l'innocent et moi n'avions pas regardé. La position de l’interrupteur était sur RÉSERVE, oups! J'ai consommé toute l'essence. Au sommet du Col, l'essence se fait très rare surtout à 7h00 du soir et il pleut à verse. Je dois me mettre à l'abris. Chanceux, au sommet, il y a l'ancienne frontière France-Italie et un petit abris pour la moto et moi(photo de jour et original). La pluie cesse finalement vers les 9h00, 2 heures à attendre en lisant ce n'est pas si pire mais je n'ai toujours pas d'essence. Je suis au sommet et ca descend. J'espère me rendre jusqu'au prochain village et je suis assez chanceux mais pas totalement, car quelques fois ca remonte. Une chance que ce n'était pas ma 750, car la Honda n'est pas très lourde, mais quand même(sur la carte le point A correspond à l'ancienne frontière, l'endroit où la panne est survenue. Au village de Larche, rien seulement une auberge qui était complète, à savoir pourquoi!) Je me renseigne pour l'essence et ils me disent qu'il y en a au village voisin. 12 km en descente, il est environ 10h30pm et je fatigue. Je pars dans la direction de Jausier qui se trouve en descente pour la moitié et l'autre moitié du trajet à plat. Chanceux il n'y a aucune montée entre ces deux villages.


Arrivés au garage de Jausier(point B), qui comme par hasard, fermait à 7h30pm et était clos le samedi et dimanche. Ayoye pour les clients! J'attache la moto après un poteau du garage et vais vers le village pour trouver un autre garage qui était aussi fermé. Finalement, je trouve une petite auberge qui est comme par hasard pleine aussi. À savoir pourquoi ! Mais là, vraiment pourquoi, on est vraiment au milieu de nulle part. Je ne sais pas ce qui se passe dans ce coin perdu mais les auberges marchent à plein rendement. L'aubergiste me dit qu’au village prochain il y a un garage 24hre avec VISA. Parfait. Je lui dis que je vais marcher jusque là et il me dit que c'est à 7km de distance et il est 11h30pm et que je suis un cinglé. Pour ce qui est d'être cinglé, je commence à le croire, pour ce qui est de marcher, sans moto c'est beaucoup mieux. Surtout le soir comme ça au milieu de nulle part, sans aucune pollution nocturne, je vous le garantie. Mais on voit là le charme des gens du coin !!

Au lieu de me donner un lift il me donne la direction et me souhaite bonne chance. Des gens très aimables pas vrai! Sur mon chemin la nuit est magnifique et il y a des étoiles à perte de vue. Tout en marchant, j’essaie de faire du pouce. Oubliez cela, personne n'arrête. Disons qu'avec ma corpulence, les gens ont tendance à accélérer ! Dans ma malchance, je trouve deux 1.5L d'eau vide, qui m'aideront à transporter l'essence à mon retour. J'en avais déjà 1 dans mon sac avec un restant d'eau, encore une chance, disons que la marche ça donne soif. En chemin, j'entend toutes sortes de bruit bizarre, mais je ne vois rien sauf le chemin et les étoiles. Des moutons, des loups ou quelques choses dans le genre, des grenouilles mais aussi des oiseaux que je ne connais pas.Finalement, je parviens à arriver à Barsellonette(point C) et à ma grande surprise, en rentrant dans le village, il y a un automobiliste qui est aussi en panne, mais il me dit qu'il n'y a pas d'essence dans ce village. Je suis découragé, car il est environ 1h00am et je suis mort. (J'ai marché 7km sans moto et environ 21km avec la moto) Le plus intéressant c'est que je dois me retaper 7km en montant pour retourner à Jausier.

Moi, je n'ai pas d'essence encore avec tout cela et je dois trouver un garage, car ils m'ont dit qu’ici il en avait un ouvert 24hre et je l'ai finalement trouvé au centre du village. Je trouve enfin l'oasis, mais il y a un petit problème, il n'accepte que les cartes de crédit FRANCAISES. Au secours! La mienne est italienne et le système ne veut rien savoir. Je trouve un guichet dans le village, et je retire 300Fr (environ $50) et retourne au garage pour attendre un bon samaritain qui me permettra de récolter trois réservoirs de 1.5L d'essence sur sa carte et je lui payerais l'essence cash.

Au bout d'un certain temps, arrive un jeune couple et il décide de remplir mes bidons. Un seul problème, le coût total est de 35Fr et ils n'ont pas de change, comme de raison, je n'ai que des 100Fr. Je leurs donnent les 100Fr avec la promesse de me laisser à Jausier et de m'attendre pour que je puisse retourner à ce garage pour remplir ma moto avec leur carte. Nous sommes partis dans la direction de Jausier et par une chance incroyable nous avons croisé la police, comme la cavalerie toujours à l'heure. Arrivé à la moto, les petits Français me disent qu'ils seront au garage dans environ 30 minutes, car ils doivent dépanner des copains. Arrivé au garage, aucun signe des petits français, j'attends jusqu'à 2h30am, et toujours personne, je n'ai que 4,5L d'essence, pour environ 80km et je ne sais pas ou il y a de l'essence dans les villages avoisinants. Toujours aussi aimable les gens du coin, je vous les recommande !

Je décide de me diriger vers GAP qui semble assez gros sur la carte, mais à combien de km ? Arrivé à Chorges, encore la panne totale, mais chanceux, à quelques pieds d'un garage 24hres, mais encore avec une ... de carte française. Mais chanceux, une dame arrive juste après mon arrivée, mais elle n'a pas non plus de carte française, elle est Italienne, nous ne nous avions pas donné rendez-vous, n'ayez crainte, mais aussi chanceuse que moi. Il est environ 3h30am et des camionneurs commencent à bouger. Nous décidons enfin d'aller les voir pour savoir s’ils peuvent faire quelque chose pour nous.

En bon FRANCAIS, ils nous demandent si nous avons du cash et nous remplissent nos réservoirs, le deal avec les camionneurs est que moi je leur donne 100Fr pour mon réservoir, si c'est moins que 100Fr il garde le change, mais si c'est 100Fr ils n'ont rien, pour la dame c'était 200Fr. Moi, j'ai été chanceux, cela a coûté 100Fr justes pour le plein, elle 155Fr, ils ont fait un peu d’argent, mais semblait intéressés par d'autres choses, encore une chance que j'étais là, sinon la dame n'aurait pas eu besoin de payer en Fr. Elle est repartie sans problème, et j'ai repris ma route, avec le plein. Il était environ 4h00am, et j'ai décidé de faire le tour du cadran. Car trouver une auberge à cette heure est impossible. Sur le Chemin de COLMARS, à Pra-Loup Les Molanes (1500M),

j'ai eu droit à ce petit lever de soleil sur les Alpes Maritimes.

Une photo de moi, la moto et le lever de soleil, je me tiens après la moto, là !!

Photo des Alpes Maritimes avant d'arriver à COLMARS

La photo ci-dessus est pour vous montrer de quel endroit j'ai pris la prochaine photo. J'ai voulu me rappeler des souvenirs de Motocross. J'ai grimpé jusqu'aux pylones des téléphériques, je suis tombé 2 fois en montant là-haut avec la moto, sans trop de bobo.

Une superbe vue sur les Alpes Maritimes, au prix de mes genoux et d'une hanche.

Vue sur COLMARS LES ALPES, cité fortifiée par Vauban, remparts et forts du XVII siècle

Vue de plus près de la cité fortifié

Vue intérieure, prise de l'extérieur de l'église de COLMARS.

J'ai repris la route pour COLMARS (point E). Arriver au village de COLMARS, j'ai demandé la direction pour la maison d'une amie de Nathalie, la policière ne connaissait pas la rue, ca va bien et personne de ce nom à COLMARS, très petit village et elle connaissait tout le monde. Le petit village de COLMARS est fortifié et très bien conservé, je dois y retourner pour pouvoir visiter plus à fond. J'ai discuté un peu avec la policière et elle me dit finalement que le COLMARS que je cherche est COLOMARS et qu'il se trouve près de Nice. Pas tout à fait dans le même coin disons.

En chemin pour NICE, j'ai croisé un autre village fortifié, Entrevaux, qui cette fois, est sur un flanc de montagne.

Une vue de l'autre versant de la montagne.

La maison ci-dessus est construite à même la roche, plusieurs maisons de ce coin de pays sont construites de cette façon.

J'ai repris la route pour COLOMARS (point F), un petit village à 15 minutes de Nice, et avec une belle vue, mais un village très petit. Je commençais à être fatigué et après avoir trouvé la maison de son amie, je me suis frappé sur un portail fermé, ils étaient parti en vacance pour 2 semaines, tout va très bien. Avec mon courage et mon fond de train qui commençait à souffrir, j'ai repris la route pour NICE. NICE, NICE, NICE, 36C, plage, ... Mais chanceux comme je suis j'ai passé environ 1 heure de repos sur la plage, et c'était plein de monde et pas un sein à l'air, chanceux comme toujours. J'ai décidé de retourner à Milan, pour dormir, dormir, dormir. Une aventure d'environ 1000 km et 29 heures, un peu fou, je sais. Mais vous avez découvert que je peux faire pire que cela, dans ce blogue. Une autre chose, une moto n'est pas une VOLVO, le siège est confortable pour environ 4 heures, après ca commence à être douloureux sur l'arrière train. Imaginez-vous après 29 heures!!!

Je crois que je commence à être trop vieux pour ce genre de sport. Vive la Volvo V-40 une merveilleuse VOITURE.

jeudi, avril 27, 2006

Adaptation en Italie - mars 2000

En Italie, après plusieurs mois d'attente, j'ai été branché à Internet, en février et nous avons aussi le téléphone. Aussi, que l'Alfa Roméo peut atteindre sans broncher la vitesse de 220km/hre, effectuant en suivant une Porsche et une Mercedes en allant à Venise. J'ai aussi l'honneur d'avoir eu mon premier avertissement par un policier(TEUTON)de Milan.

Une rencontre assez spéciale, lorsqu'on ne parle pas Italien et que lui ne parle rien d'autre. J'ai fini par comprendre que j'avais supposément tourné à gauche, lorsqu'il y avait un panneau l'interdisant. À force de faire l'innocent et en lui donnant tous les papiers que j'avais de disponibles, il m'a laissé partir sans contravention. Chanceux, mais je n'ai pas essayé de recommencer le lendemain !!

Nous avons été voir notre premier film en français à Milan: " Astérix et Obélix contre César ". Pour les fanatiques de bande dessinées, le film en vaut le coût, nous l'avons adoré. Je sais que ce n'est pas un grand classique, mais que voulez-vous à Milan en général, tout ce qu'ils ont comme film français vient d'Afrique ou de Belgique. Pour ce qui est des films anglais, je crois que nous devrions avoir Star Wars I vers l'année 2004 !!!

mercredi, avril 26, 2006

Fête du Canada et des États-Unis - juillet 2000

En Italie, nous avons été invités par le Consulat Canadien pour un petit 5 à 7 pour la fête du Canada. La réception fût très appréciée, dans une cours intérieure très charmante, avec les drapeaux Canadiens et Italiens, l'ambassadeur et son épouse, plus une centaine de personnes, dont environ une dizaine de Canadiens Français. Le buffet était bien et le bar était ouvert. La plupart des Canadiens Français venaient de la région de Montréal, et savaient se tenir. Le champagne coulait à flot et j'ai personnellement apprécié le saumon. Finalement, comme de bons Canadiens Français, nous sommes partis les derniers comme toujours. Au cours de la réception, nous avons été invités à un petit pique-nique pour la fête du Canada (1e juillet) et celle des États Unis (4 juillet) conjointement dans un merveilleux domaine de la région de Chiari, en banlieue de Brescia.

Lors de notre arrivée à Chiari, l'impressionnant domaine nous accueille avec un merveilleux portail. En entrant nous allions vers une merveilleuse demeure. Jusque là tout était bien, mais lorsqu'on arrive sur les lieux du pique-nique, les drapeaux Américains et Italiens étaient là, mais aucun drapeau Canadien. Je me suis plaint à l'organisateur et elle ne semblait pas trouver cela grave que pour la fête du Canada, qu'il n'y avait pas notre drapeau, mais que les Américains et les Italiens avaient leurs drapeaux.

Je me suis plaint de temps en temps pendant plusieurs heures, mais je crois qu'ils pensaient que je faisais des farces, malheureusement j'étais sérieux. Comment peut-on fêter les fêtes conjointes, s'il n'y a pas notre drapeau. Je suis fier d'être Canadien, je crois que je suis le seul, mais que voulez vous, personne n'est parfait. En passant, le repas était bien, hot dog, crème glacée et liqueur, mais cela manquait un peu de finitions, comme on dit chez nous " Fini su le gipproc " . Pour terminer la fête, nous avons eu droit à un récital des jeunes talents Canadiens en Italie. J'ai bien apprécié le spectacle, et comme par magie juste avant la performance, le drapeau Canadien est apparu sur la scène. Je ne comprends pas pourquoi ils ne l'ont pas sorti avant. Au moins la journée s'est bien terminé.

mardi, avril 25, 2006

Les avions - Mai 2000

En Italie, nous avons dû prendre l'avion pour aller aux funérailles de mon père à Montréal.

Le matin de notre vol, nous avions mis nos montres, nos cadrans et notre réveil pour nous lever et rien n'a sonné, on est parti en retard et nous avons été pris dans un embouteillage monstre sur notre chemin, causé par un accident qui était arrivé quelques minutes avant notre arrivée, qui a fait 4 morts. À cause de l'attente, nous sommes finalement arrivés à l'aéroport à 10h35 et l'avion partait à 10h30, Oups!

Ils nous ont redirigés le lendemain, vers Londres, Toronto et Montréal. Au lieu de Milan, Toronto, Montréal. Nous allions à l'enterrement de mon père le samedi matin, et nos bagages ont tellement aimés Londres qu'ils ont décidés d'y passer la nuit. Ce qui fait que pour le lendemain matin nous n'avions rien à nous mettre sur le dos. Arrivés à l'aéroport en culottes courtes et des espadrilles, chic pour un enterrement. Chanceux dans notre malchance, j'ai pu porter un habit de mon père, et Nathalie une robe de ma mère !!!!

On pourra dire qu'il nous est presque toute arrivé en avion.

Lors de mon retour pour Milan, le vol de Montréal-Toronto a été retardé de 45 minutes, à mon arrivée à Toronto, dans un orage incroyable, ont a tourné pendant 30 minutes autour de Toronto. Finalement, l'avion a fait son approche. Il est descendu jusqu'à la piste, et POUF!! plus de piste, l'avion a du re-décoller, faire un tour et reprendre sa descente. Assez bizarre comme sensation, surtout lorsqu'on est près d'une fenêtre et qu'on a le nez dedans.

Pour ajouter au plaisir, avec tout ces petits retards, je suis arrivé à Toronto, à 5h25. Mon avion pour Milan partait à 5h15, OUPS!! J'ai couru jusqu'à la porte d'embarquement qui se trouve de l'autre côté(comme de raison)de l'aéroport, et l'avion n'était plus accroché à l'aéroport. J'ai dis à la compagnie CANADIEN que j'étais le premier, mais qu'au moins 10 personnes me suivaient. Ils ont ressortis la rampe et on a pu embarquer. Pensez-vous que les bagages nous ont suivi. EH NON!!! En ce moment, ils sont à Toronto et devraient arriver demain matin, quand ont est chanceux on est chanceux !!!

lundi, avril 24, 2006

Bel accueil - octobre 1998

On pourra dire qu'il nous est presque tout arrivé en Italie.

La première fois que nous avons payé au poste de payage de Val d'Aoste, le prix était de 25 000 lires. J'avais compris 250 000 lires, je trouvais cela excessif, mais en Italie rien ne nous surprenaient. Je lui ai remis 250 000 lires, il ne m'a jamais remis le change. De retour à Milan, au poste de payage, je remet 250 000 lires au monsieur, qui par chance m'a dit que c'était seulement 25 000 lires. C'est comme cela que j'ai su que je m'étais fait voler auparavant.

Aussi, dernièrement en revenant de faire le marché avec Nathalie. J'entre dans l'entrée de l'immeuble à condo, pour déposer les paquets avec Nathalie. Je retourne à l'auto pour aller la stationner plus loin, et j'ai la surprise de tomber sur 5 adolescents qui rodaient autour de moi et qui en voulaient à mon porte-feuille, assez courageux de leurs parts, avec mon 6 pied(1m83) et près de 300 livres(135kg). La seule chose que j'ai fait, j'ai avisé Nathalie de rester à l'intérieur et n'ouvrir que lorsque ce sera moi qui lui demandera. Ensuite j'ai essayé de leur parler et lorsqu'ils se sont avancés sur moi, j'ai attrapé les doigts d'un adolescent qui essayait de mettre sa main sur la fermeture éclair de mon manteau et j'ai tourné avec coeur les doigts de mon agresseur.

Nathalie qui m'attendait à l'intérieur a entendu un cri et plus rien, je crois que mes agresseurs vont se souvenir de moi. En tout cas j'ai bien aimé l'expérience, mais je regrette de n'avoir broyé que les doigts de mon agresseur. Lorsque j'ai parlé au policier, ils m'ont presque encouragé à me battre et les ramasser dans un tas pour qu'ils viennent les chercher, avoir su. Mais quand même j'ai toujours mon porte-feuille !!!!

dimanche, avril 23, 2006

Funéraille en Italie !

Pendant mes années en Italie, j'ai eu beaucoup de moment mémorable, mais aussi des moments tristes pour d'autres mais étrange pour moi.

Un certain mois de juin, la mère d'un de mes collègues de travail est décédé et je suis allez pour la première fois de ma vie à des funérailles italiens.

Connaissant mon collègue qu'au travail, j'avais eu l'occasion d'être invité à leur petite maison sur le bord du lac de Garde(Lago di Garda), près de Brescia, un terrain de plus de 5 acres, avec une maison d'une douzaine de pièce, sur le bord de l'eau avec des oliviers, des oranges et d'autres arbres magnifiques.

Revenant à nos moutons, pour les funérailles, je me rend à Brescia pour 9h30am, partie de Milan vers 7h30am, je devais rejoindre mon collègue à une adresse donnée. Arrivée à l'endroit que j'avais eu de sa part, c'était l'euphorie, il y avait des gens partout, avec un manque de stationnement flagrant, comme partout en Italie. En regardant, je croyais arrivé dans un genre de temple ou une église, mais c'était la résidence familiale, j'aurais du m'en douter avec leur petite maison sur le lac que la résidence devrait en compter plus, en fait c'était un chateau, 2 étage et immense.

Un petit fait assez cocasse pour le moment, lors de la sortie du corps, elle était exposé au 2e étage dans une chambre, ensuite ils ont pris la dépouille et l'ont placé dans le cerceuil. Petit problème, la dépouille et le cerceuil ne passaient pas. Ils ont du sortir le cerceuil par le balcon arrière, descendre les marches en colimacon et quel malheur, avec le cerceuil presque à 90 degrés avec les marches, ils ont échappé le cerceuil, on pouvait s'imaginer que la dépouille, c'est ramassé dans le fond du cerceuil. En plus, le cerceuil c'est coincé dans les marches, ils ont presque du sortir les outils pour le déplacer. Finalement remis à l'horizontal, ils l'ont placé à l'arrière d'une voiture et le cortège c'est mis en branle derrière. On est à ce demandé comment ils ont fait pour entrer le cerceuil ?

Le plus intéressant dans tous cela, c'est que nous avons suivi à pieds, le cerceuil. Ne pas oublié que tout le monde est en habit, le plus foncé que possible, et que nous sommes en juin, en Italie, avec un beau 32C à l'ombre. On a commencé la marche, dans un petit quartier antique, très mignon, mais je ne pouvais pas vraiment prendre de photo sur le fait. J'espèrait que l'église n'était pas trop loin, j'avais entendu par les branches qu'elle serait enterré à Campione sul Lago di Garda, à 50km de là !! J'espèrais que nous n'avions pas à marcher jusqu'à là, mais si il le fallait, j'aurais suivi.

Environ 5 kilomètres plus loin, à moitié mort, nous sommes arrivé devant les marches de l'église. Après 5 kilomètres de marche à la chaleur, nous devions monter plus de 200 marches pour entrer dans l'église. Disons que je n'étais pas très vieux, mais la moyenne d'age devait friser les 50 +. J'avais peur d'en perdre en chemin. Une fois à l'intérieur, j'ai découvert une merveilleuse église, peut être même une cathédrale, qui sait, je ne me souviens plus. Après un petit service simple, nous avons descendu les 200 marches et repris le trajet inverse à pieds pour la résidence. Rendu à la résidence, pour se rendre au cimetière, nous avons pu prendre nos voitures, et faire le parcours pour le lac di garda, à 50 km/h, disons que je trouvais cela rapide pour un cortège funéraire, mais on était en Italie.

Arrivée dans un petit village dans les montagnes autour de Campione, nous sommes arrivés dans un genre de colombarium, mais le plus étrange, c'est qu'en Italie, ils se plaignent qu'ils manquent de place, imaginé, au lieu d'incinérer les dépouilles, ils les placent dans une niche, oui, une niche, mais pour cerceuil, en béton et avec une dalle en marbre sur le devant, merci pour l'économie de place dans les cimetières.

Suite à la petite célébration dans la montagne, nous avons pris le chemin du village pour une réception en l'honneur du défunt. Un repas très copieux sur les rives du lac de garde, une pause de plus de 5 heures très appréciés après la petite rendonné à pieds, à oui, en passant, dans la montagne, on a eu encore une vingtaine de marche monté et descendre pour ce rendre au colombarium.

Une réception dans les règles, on aurait dit un mariage, mais en fait ce n'était que les proches et la famille, environ 100 personnes, plus la soirée avancait, plus les gens retournaient chez eux, vers la fin de la soirée, nous n'étions que la famille et les amis proches, alors une vingtaine d'invitée. Vers les minuits, je suis parti en direction de Padova, environ 175km de là, je sais pour ceux qui connaisse l'Italie, vous me direz que Padova est à l'opposé de Milan, mais durant la journée, j'avais sympatisé avec un américain qui demeurait par là, et malheureusement, il avait manqué le dernier train pour Padova. Avec mon grand coeur et ma passion pour la vitesse, nous primes la direction de Padova, pour y arriver environ 1 heures après. Avec une vitesse moyenne sur l'autoroute de 195km/h, ca va très bien ! Surtout le soir, les polices sont presque inexistante. Alors, nous sommes arrivés à Padova vers les 1h00am, et ensuite je devais revenir à Milan, une distance d'environ 250km, pour arrivé vers les 2h30am, ils ont de très belle route en Italie, pas trop de courbe et surtout, pas beaucoup de police.

Voilà en gros une petite journée de funéraille, presque typique de l'Italie.

samedi, avril 22, 2006

Retourner au bercail !!

Suivi d'un de mes sujets sur le Blogue d'Olivier de Montréal

vendredi, avril 21, 2006

Rythme de vie à l'Européenne !!

La différence dans le travail entre la façon Canadienne et Européenne.

Ayant été Gestionnaire de projet Pan-Européen pendant plus de 5 ans, j'ai appris à travailler avec des gens de plusieurs pays différents et à apprendre à vivre avec ses différences. Après m'être ajusté au rythme des Italiens, des Portuguais, des Espagnols, des Français, des Belges(Français ou Allemands), des Allemands, des Suisses(Français ou Allemands), des Polonais, des Norvégiens, des Suédois, des Anglais, des Grecs, des Turcs et j'en passe. avec plus de 25 projets en même temps à travers l'Europe, j'en viens à la conclusion que nous les Canadiens nous frisons le délire.

Étant le seul bénévole pour gérer autant de projet en même, j'ai compris que ce n'était pas le rythme normal Européen. Aimant les défis, j'ai eu beaucoup de plaisir à travailler avec tous ses gens et mener à terme les projets. Je suis en train de mettre à jour mon site et je vais avoir beaucoup de moment très juteux à raconter. Et tous cela pour en arriver au différence, ici on travaille, on dort et on travaille, la fin de semaine on dort et on recommence.

À mon arrivé en Italie, ils m'ont donné affectueusement le surnom de Mussolini, je venais de Montréal, et j'étais Directeur Informatique, avec plus de 1800 employés qui me tombaient sur la tête régulièrement. Alors lorsque je suis arrivé en Italie, pour gérer une équipe de 125 personnes, je m'amusais, mais était un peu trop strict. Avec le temps je me suis fait au rythme Italien, très travaillant, mais ils se permettent des poses de temps en temps, une heure et demi de diner et des fins de semaine sacrée. Alors j'ai redécouvert l'art de vivre, du travail bien fait avec moins de stress et sur une plus longue période.

APPRENDRE À RESPIRER PAR LE NEZ, et qui vivra verra. Je rentrais chez moi le soir pour diner, les fins de semaine on allait à Venise, Rome, Napoli, Nice, Paris, et tous cela en voiture payée par la compagnie, j'adore la voiture, surtout une belle Volvo ou autres comme la Smart. J'ai découvert les PONTS, hé oui ! Les congés par dessus congés, j'avais 1 mois de vacance à Noël avec l'avion payé pour revenir au Canada, aussi en été, un autre mois de vacance de juin-juillet et on avait les fériés en aout, le Nirvana. Imaginez, 14 jours fériés, eux ils l'ont la solution.

Depuis que je suis revenu, j'essaie de reprendre ce rythme, mais ce n'est pas évident, au Canada, on est encore trop fou !!

Faire 185 km de route sur l'Ile de Montréal !!!

Suivi d'un de mes sujets sur le Blogue d'Olivier de Montréal

La navette et moi, périples en voiture !

Résumer d'un petit voyage très intéressant: Le dimanche 19 janvier 1986, le premier essaie d'un décollage de Challenger, nous sommes parti le vendredi en voiture, un ami et moi pour partager les frais d'essence, ayant un camion diesel, pas trop coûteux comme voyage, j'ai conduit tous le long aller-retour. Nous étions des maniaques de photos, de kilométrage et de navette, arrivée là bas dans l'après midi du samedi, 24 heures de route, nous nous sommes reposé chez des amis.

Le lendemain matin, nous sommes partis pour le KSC, mais en chemin, nous avons appris que le décollage était reporté à lundi matin, on a fait un petit détour vers Walt Disney World. On a décidé de resté jusqu'au lundi matin pour apprendre qu'elle était reporté à vendredi, ayant malheureusement pas trop de congé, nous sommes revenu bredouille à Montréal le mardi matin, après 23 heures de route pour terminer dans la tempête de neige.Une chance que nous avions l'hébergement et les billets gratuit à 5 milles de la rampe de lancement fourni par un ami de mon père qui habitait là.

Le vendredi suivant, j'apprend qu'elle est encore reporté au dimanche suivant, je demande à mon copain pour refaire le voyage aller-retour, mais il se désiste et je ne trouve personne d'assez courageux pour faire le trajet avec moi, je suis donc parti seul en direction de la Floride, pour arriver 23 heures après le départ, mon record, je crois que mon père l'a fait en 22 heures, mais je ne suis pas certain. Arrivé en Floride le samedi midi, j'apprend que le décollage de la navette est reporté au lundi matin, malheureusement, je n'ai plus de congé et j'ai du revenir, arrivée lundi matin, vers 8h00 au bureau, j'ai travaillé jusqu'à 17h00 pour aller m'écraser à la maison en arrivant chez moi.

Mardi le 28/01/1986 la navette Challenger explose 73 secondes après le décollage .

jeudi, avril 20, 2006

Mon choix d'appareil photo numérique

Au tout début de mon expérience avec le numérique, j'ai commencé avec une Olympus utlra-zoom C700, merveilleuse caméra avec 2.1 MP et un zoom optique de 10X, sur mon site Periples.com vous verrez la plus part des photos avec cette caméra.

Le seul problème avec cette caméra, est qu'en 2003 je me l'ai fait volé lors d'un petit voyage à Montréal, hé oui !!

Très bien assuré à l'époque, j'ai eu le droit au Nirvana lorsque j'ai fait la connaissance de la Panasonic Lumix FZ20 de couleur argent et non noire, une merveille, 5.0MP avec un zoom optique de 12X, équivalent à 432mm avec une 35 mm. Alors les prochaines photos sur ce blogue seront avec cette caméra. J'ai placé un petit lien avec les spécifications de cette caméra .

Spécifications


Apercu des images

Petite apercu des images qui seront ajouté au fur et à mesure sur ce blogue. Amoureux des chemins sinueux, cette photo a été prise au bout de l'Ile d'Orléan, juste avant la chocolaterie de l'Ile, avec le meilleur chocolat au Québec .